Au sud de l’Italie sont produites des milliers de tonnes de tomates de façon industrielle. L’immense majorité de ces tomates a vocation a être exportée à bas prix. La course à la productivité maximum et a la “performance commerciale” passe par la recherche systématique de la baisse des couts de production. Salaires, logements, conditions de travail, droits humains sont les variables d’ajustement utilisées outrancièrement par l’agro-industrie. En voici un témoignage qui fait partie d’une collection de portraits documentant les luttes contre les politiques migratoires en Europe à retrouver sur www.tracingmovements.tumblr.com